Tout fan d’animé n’a pas pu passer à côté du succès des studios Trigger » Kill la Kill « , un animé déjanté qui malgré son côté barré ( merci le Japon) a quand même conquis les otakus et les poussaient à attendre patiemment la sortie de chaque épisode. Visuellement parfait, obligé me diras tu, avec les anciens de chez Gainax aux commandes, et fort de son succès en animé la version papier sort chez Kana.
Synopsis: Afin d’étudier le mystère qui entoure la mort de son père, Ryûko Matoi se rend à l’académie Honnôji. La présidente du conseil des élèves, Satsuki Kiryûin, semble connaître le secret du scissor blade, élément clé de la mort du père de Ryûko. Cependant l’académie est régie par un système d’uniformes à étoiles qui confère des capacités hors du commun à ceux qui les portent… et Ryûko n’a aucune étoile à son actif !
https://youtu.be/VDilVzdebe0
Dés le début, on retrouve l’univers décalé de la série qui prend place dans l’académie Honnoji. Série qui dénonce le fascisme et surtout les jeunesses hitlériennes avec cet académie et qui se réserve le droit de recruter que les meilleurs. Académie dirigé par une main de fer par l’impitoyable Ira Gamagori et qui va donner du fer a retordre a notre héroïne à l’habit démoniaque. L’académie n’est que le début de l’emprise de son pouvoir car elle ne vise rien d’autre que le Japon dans son ensemble.
Ryuko Matoi notre héroine est comme dans la série, unique en son genre, avec sa grande moitié de ciseaux. Elle débarque dans l’académie à la recherche du meurtrier de son père qui s’est enfui après avoir abandonné la moitié de son arme. Arme plus qu’originale, tu l’avoueras, c’est pas le genre de truc que tu vois dans un animé et cela souligne le coté barré de cette série. Ryuko intègre donc cette académie qui a comme particularité d’être régie par un système d’uniforme à étoiles qui donne des compétences au porteurs de ces derniers. Après quelques déboires, elle découvre un mini mini mini costume qui lui va a ravir et qui va lui permettre de se défaire des ennemis.
On sent la dinguerie de l’anime avec des personnages haut en couleurs totalement dans l’esprit shonen du titre. Cependant ce qui fonctionne bien avec la série et te scotche au siège est un peu moins présent dans la version papier. Elle reste très honnête mais on aurait aimer justement de l’inédit et des choses à approfondir sur cette version papier et non pas un copier coller de la série. On est loin du flop Samurai Champloo mais quand même c’est assez gênant, pour la suite des parutions. Si vous ne connaissez pas la série, vous apprécierez à coup sur cette hèroine narvalesque et son uniforme totalement fan service assumé. Ceux qui ont apprécié la série seront sûrement peiné. Pour ma part, je me laisse le temps de voir les prochains volumes et voir si l’auteur continue sur la voie de la série.
2 commentaires
Il sort quand le tome 2 j’ai trop hâte? *^*
SI tout se passe bien , j’imagine début Juin 😉