- Auteur : TAKEYOSHI Minoru
- Genre : Seinen/Historique
- Editeur : Glénat
Synopsis : Une époque où des sages-femmes innocentes pouvaient être accusées de sorcellerie. Laissée seule au monde par les persécutions de l’Eglise, la jeune Ella est enfermée dans un couvent pour « enfants de sorcières ». Alors qu’elle commençait tout juste à s’habituer aux règles sévères de la vie monastique, Ella est soudain placée en isolement. Ses plans auraient-ils été découvert?
Le Couvent des Damnées revient avec un quatrième volume édité par Glénat, l’occasion pour nous d’en apprendre plus sur ce qui attend Ella dans ce couvent bien plus terrifiant qu’il n’y paraît. Ella et ses amies n’ont visiblement qu’un objectif en tête, celui de parvenir dans le top 5 pour obtenir le droit et la promotion de surveillante. Un état qui leur octroierait la possibilité de se rapprocher d’Edelgard, mais qui s’annonce bien plus pénible à obtenir que prévu. Vivant en partie dans la forêt, le groupe de cinq compagnons collabore pour parvenir à survivre tant bien que mal. La chasse, l’agriculture, la pêche, les techniques de conservation des aliments, toutes ces notions vont être exploitées du mieux possible pour rassembler un maximum de réserve.
Il faut réunir un maximum de ressources pour passer l’hivers sans encombre, mais pas seulement, les épreuves des autres surveillantes se font de plus en plus dures et pressantes, obligeant le groupe de cinq à redoubler d’efforts. Un secret finit aussi par être percé à jour, les surveillantes utilisent des glaçons pour droguer les autres femmes qui se disputent les places du classement. Pour faciliter leur choix, elles les forcent à porter la croix du Christ jusqu’au sommet d’une colline, les plus faiblardes craquent physiquement et deviennent les premières désignées pour ingurgiter la drogue sous forme de glaçons, à leur insu bien entendu. En toute fin du tome, une tempête vient noyer toutes les provisions de la petite équipe, les obligeant à tout recommencer à zéro et anéantissant tous leurs espoirs, du moins… Jusqu’à ce que Ella prenne la parole.