- Auteur : Komi Naoshi
- Genre : Comédie, Romance
- Editeur : Kaze
Synopsis : Convalescente, Marika décide malgré tout d’attendre Raku à la sortie de l’école pour lui remettre un cadeau de Saint-Valentin… très spécial ! Elle profite de l’occasion pour faire une nouvelle déclaration à l’élu de son cœur, mais s’écroule avant même qu’il ait pu lui répondre. Ses camarades découvrent alors la vérité derrière sa détermination sans faille, et le terrible destin qui attend la jeune fille s’ils n’interviennent pas…
Malgré sa condition physique plutôt désastreuse, Marika se rend tout de même au lycée pour retrouver Raku afin de fêter dignement la Saint-Valentin mais malheureusement pour elle, ne peut pas se confesser puisqu’elle s’évanouit devant les yeux ébahis de notre protagoniste.
Avec Marika au centre de l’intrigue de ce tome 21, l’histoire avance d’un grand pas avec l’arc où la joyeuse bande va partir à la rescousse de la jeune fille. Grâce à l’aide d’un ancien personnage qui fait son grand retour, ils s’attelleront donc à la tache de ramener leur amie. C’est donc enfin le tour de Marika de bénéficier du spot dont elle avait grandement besoin et qu’elle méritait fortement. Après plusieurs tomes où elle n’apparaissait qu’en temps que personnage supplémentaire de l’énorme harem de Raku, il était temps qu’elle soit plus exploité et mis en avant. Il aura donc fallu attendre plus de vingt tomes pour que cela arrive enfin.
La mise en avant de Marika mais également de sa famille offre une bouffée d’air frais à l’oeuvre qui tournait en rond depuis quelques tomes. L’action se fait également ressentir, notamment avec l’affrontement entre Tsugumi et Honda qui se livrent bataille. Cela n’annonce donc que du bon pour la suite puisque l’arc s’étend sur deux tomes.
Volume entièrement consacré à Marika, Nisekoi redresse la barre après un tome 20 plutôt plat. Jonchant entre moments de romance et combat endiablé, ce vingt-et-unième volume brille par son renouveau bien que certaines situations soient complètement ridicules voire même exagérés mais c’est ce qui fait la force de l’oeuvre.