- Auteur : Medamayaki (art), Munashichi (story), Shinobumaru (original story)
- Genre : Aventure, fantastique
- Editeur : Piccoma
Synopsis : “Parfois les gens se perdent et atterrissent… ailleurs, dans un au-delà sombre et inquiétant. C’est ce qui est arrivé à Kaori quand elle était petite, toutefois, au lieu de connaître un sort funeste entre les griffes d’un démon, elle a été adoptée et vit désormais un pied dans l’au-delà et un pied dans le monde des humains. Un jour, un jeune homme évanoui fait son apparition dans l’autre monde. Son arrivée va bouleverser le train-train de Kaori et l’entraîner dans de folles aventures…”
Adaptation en manga des romans de Shinobumaru, Le loueur de livres de l’au-delà est dessiné par Medamayaki (Practiced Liar – Taifu comics) et Munashichi (Poubelle et la ville sans ciel – Nobi nobi / Chasseurs d’aurore – Nobi nobi). La série est en cours de publication au Japon et chez nous, elle est disponible via Piccoma, avec une mise à jour tous les mardis. Actuellement, le premier tome est disponible et le deuxième est en cours de parution. Nous vous parlerons ici de notre impression après lecture du premier tome.
Le manga nous raconte l’histoire de Kaori, jeune fille qui a été élevée dans l’au-delà, entourée d’ayakashi (un type de yokai), elle rencontrera un jour un humain, Suimei, exorciste, qui recherche un ayakashi bien précis. Le tome suit le schéma suivant : un chapitre, une histoire avec un ayakashi différent à qui l’ont a prêté un livre et quelques informations en plus sur nos personnages principaux. C’est un tome assez introductif qui nous présente rapidement son univers et les différents ayakashi qui gravitent autour de Kaori. Le titre est plutôt classique mais se lit facilement. Les histoires peuvent être touchantes et si vous aimez les histoires de yokai, les contes et légendes, vous devriez trouver votre compte (on peut aussi retrouver un tout petit air de ressemblance avec l’ambiance de Xxx Holic de CLAMP). En clair, c’est une série qui ne semble pas révolutionner le genre, mais qui fait passer le temps. D’autant plus que nous n’en sommes qu’au début, la suite nous surprendra peut-être alors, affaire à suivre !