Suda 51, génie fou du studio Grasshopper Manufacture revient après le géniallissime Lollipop Chainsaw, dans un nouveau jeu aussi dingue que ces précédents opus.
Mondo Zapp est le héros de Killer is Dead , qui prend parti dans une société gouvernementale secréte: les bourreaux. Armé d’un bras bionique et d’un katana, il doit éliminer les monstres venue de la Lune, qui se présentent à lui via les mission de sa société. Scénario très simpliste et assez confus par moment mais qui laisse le champ libre à un beat’em all furieux, et qui va nous permettre de se défouler.
Des systèmes de jeux classiques pour ce genre de jeu, combos, contre millimétré qui permettent de finir aisément les ennemis. Un gameplay efficace malgré un positionnement des caméras qui rend la tâche difficile. Graphiquement c’est beau, on reste dans le Cell Shading chère à Suda 51. Grasshoper studio propose une ambiance assez sombre malgré un univers très colorée et des décors assez simpliste et dépouillé…Mais bon cet univers à un petit quelque chose d’envoûtant qui se laisse admirer.
Des jolies filles, un héros beau gosse qui pourra s’il le souhaite customiser son attirail en draguant la gente féminine ou en remplissant des missions annexes. Egalement en récupérant des cristaux lunaires, le héros pourra s’acheter des nouveaux objets à la boutique ou régénérer sa barre de vie en récupérant de l’hémoglobine. Cependant les déplacements lourdaud du héros accentue la difficulté sur certains passages, surtout quand il s’agit de contres et d’esquives.
Un jeu qui se boucle en environ 10 heures pour peu que l’on upgrade les compétences du héros et en s’armant de patience au début du jeu car les premières missions sont assez lassante. Comme par exemple les missions de Scarlett, certaines son simplement infaisable sans upgrader son personnage. Une maitrise des esquives peut vous sauver de situation compliqué mais malheureusement pour les maitriser, il faudra se prendre la tête à moins de maitriser du skill, chose que je n’ai pas.
Bref un jeu qui se laisse apprécier mais qui malheureusement manque de ce petit quelque chose qui te pousse à vouloir le finir . Un jeu que j’ai fini mais avec de longues pause entre chaque partie, ce qui explique que j’en parle que maintenant. Chose qui se répète d’ailleurs assez souvent avec les productions de Suda 51, qui pourtant ont tout pour plaire sur le papier.