6001
Un immense complexe sous-marin se trouve à 6000 mètres sous la mer des Philippines, son nom : Cofdeece. Issue d’une collaboration entre une entreprise japonaise et son partenaire chinois, cette base sous-marine a été le théâtre d’un mystérieux « accident » ou tout l’équipage de l’époque est mort. 3 ans plus tard, Kengo Kadokura, un jeune ingénieur un peu mou du bulbe devra y descendre. Dans le but de préparer la réouverture de la station, alors que le mystère de l’accident plane encore. Mais très vite, Kengo sera confronté à des visions d’horreur, puis à l’inimaginable…
Tout d’abord ce premier volume est assez fourbe, il nous balance un tas d’informations et introduit beaucoup de personnages pour essayer de brouiller les pistes et nous faire oublier la scène d’introduction pleine de mystère. Mais c’est une fois descendu à 6000 mètres de profondeurs que la pression monte. Dans ce genre d’environnement clos et coupé du monde, les individus commencent à être sujet au stress. Certains plus que d’autres, ils pensent avoir de drôles de visions, à cogiter et à se poser des questions sur les évènements passés.
L’atmosphère devient au fur et à mesure pesante, avec une petite pointe de surnaturel. Jusqu’au blackout et quelques révélations qui nous font comprendre qu’on s’est foutu dans une belle merde. Des apparitions spectrales bien effrayantes, des mystères dissimulés, un environnement hostile, des esprits fragile, rajouté à cela les deux événements survenus en fin de tome pour vous rendre addict à cette série qui vous fera bien frissonné.
ALTAIR 3
Pour redevenir un pacha qui se respecte, Mahmud se dirige maintenant vers Phoenicia : le cœur de la mer centro. Mais arrivé une fois la bas, il se retrouve au milieu d’une guerre avec l’empire. La Turkiye ne peut se permettre de perdre cette bataille… Notre héros fera tout pour mener les Phoneciens à la victoire ! La première guerre de cette cité commence, la tension est à son comble !
Phoenicia est mélange des cités de Phénicie, du phare d’Alexandrie et Rome (politique), cette ville témoigne de la splendeur d’antan et des empires oubliés. C’est donc normal pour le lecteur de se ranger à ses côtés, lorsque l’Empire Baltrhain prévoit une attaque sur elle. Pendant tout le long du volume c’est le souffle coupé que l’on craint pour sa chute.
Ce volume est dans la continuité de la série rythmé et très passionnant, elle sollicite toujours le lecteur pour comprendre les enjeux présentés, le manga continu de nous séduire pleinement. On attend impatiemment l’arrivée de Mahmud à l’équivalent de notre Venise, la cité de Vénédik.
Bleach 61
Une fois qu’il a enfin découvert la vérité concernant ses origines, Ichigo repart voir Nimaiya Ôetsu afin de réparer son zanpakuto. Pendant ce temps, les Quincy se préparent à RE-envahir la Soul Society et annoncent l’anéantissement du Seireitei en à peine neuf jours. La Soul Society qui a déjà essuyé un cuisante échec ne compte pas se laisser faire. Et se prépare de son côté aussi pour contrer l’assaut des troupes d’Yhwach, le Chef des Quincy.
Malgré toutes leurs précautions, les shinigamis sont une nouvelle fois pris d’avance par les Stern Ritters qui ont réussi à passer au travers des nouveaux dispositifs de sécurité mis en place. La bataille commence et on voit déjà des capitaines comme Hitsugaya Toshiro qui montent au front pour affronter les terribles sbires d’Yhwach.
Le combat final commence enfin et personne ne peut encore dire qui l’emportera.
Cela fait plaisir de revoir Ichigo au centre de l’histoire malgré tout ce qui se passe dans le tome. L’explication faite sur ses origines nous éclaire sur des éléments qu’on ne comprenait pas forcément dans les tomes précédents. Ce tome est une petite pause entre la première et lourde attaque sur le seireitei, la mort du capitaine commandant, le flash-back sur les origines d’Ichigo. Ça permet de souffler un peu en voyant un peu tout les futurs intervenants des 2 camps. Du coté des » pas-gentils « , on retrouve de l’intérêt pour Ishida avec une nouvelle bouleversante et on nous montre aussi les champions Quincy ! Du côté de nos héros Ichigo revient gonflé à bloc avec un nouveau Zanpakuto et Urahara lui nous concocte encore quelque chose en réunissant Shad, Orihime (et GRIMMJOW?).
Le volume 61 sert à recadrer cet arc, on a découvert des éléments sur les passés, les pièces sont en places sur l’échiquier… C’est la Guerre !
Dragon Ball Z – les films – 8, 9 et 10
Broly le super guerrier : Son Goku est le numéro 1 de l’univers, cependant un nouvel ennemi apparait… Que se cache-t-il sur cette « nouvelle planète Végéta » ? Qui est vraiment ce Paragus et son fils Broly ? L’un des combats les plus violents de l’univers Dragon Ball.
Les mercenaires de l’espace : Pour garder la paix sur terre Son Goku nous a quitté durant le Cell Game. Le combat de nos héros contre C-13 a attiré l’attention d’un ennemi venu d’ailleurs. Son Gohan doit se débrouiller sans son père pour sauver la planète de ce danger.
Rivaux dangereux : Broly le super guerrier légendaire revient d’entre les morts ! Son Goten et Trunks sont pris pour cible par ce monstre. Et c’est Son Gohan (adulte) qui arrive à la rescousse, pourra t il venir a bout du guerrier légendaire ?
Glénat nous propose une édition des films Dragon Ball Z déjà edité au japon depuis leur sortie c’est à dire plus de 20 ans. Rien d’originale car ce ne sont que des images extraites des films qui sont utilisés, j’ai toujours eu un peu de mal avec ça. Cependant ça reste bien dynamique, vu que le matériel brut n’est rien d’autre que de l’animation. On a droit à des pages très colorés, un peu trop même avec l’utilisation des onomatopées flashy. Et à certains moments les bulles de dialogues couvrent une grande partie des cases, certaines sont même carrément occultées. Mais il ne faut pas oublier que les dialogues sont plus fidèles aux œuvres orginales.
Mais bon cette édition permet de redécouvrir sous un autre format une partie du grand univers de Dragon Ball !