Synopsis: L’histoire d’un assassin génétiquement modifié pour être la parfaite machine à tuer. Sa dernière cible est une multinationale dont l’objectif est d’obtenir le secret du passé d’Agent 47 pour créer une armée de tueurs dont les pouvoirs surpasseront même les siens. Faisant équipe avec une jeune femme qui détient peut-être un secret permettant d’affronter leurs puissants ennemis clandestins, 47 fait face à des révélations étonnantes concernant ses origines et se prépare à se battre avec son adversaire le plus redoutable.
Après une première adaptation sans réel succès, l’agent 47 revient pour un nouveau film.
L’adaptation est assez fidèle au jeu-vidéo sur quelques aspects, on y retrouve ses fidèles Silvers ballers, son costume et même la corde à piano et ça ne s’arrête pas là car on retrouve à l’écran le côté infiltration. On le voit même subtiliser des tenues pour passer inaperçu comme le jeu. Quand au personnage il est froid, calme et mystérieux, jusqu’ici tout va bien mais est-ce qu’une bonne adaptation de l’univers suffit à faire bon film ?
Premièrement les scènes d’actions, sont superbes, que ce soit au contact ou à l’arme a feu, on en prend pleins les yeux, tout ça interprété par un Rupert Friend incroyablement bad ass que vous avez pu voir dans la série Homeland par exemple. Concernant Katia le second personnage principal, j’ai beaucoup aimé pour une première raison déjà, on a pas essayer de nous vendre une romance à l’eau de rose entre elle et l’agent.Au lieu de ça on nous a servit une femme forte qui sait ce qu’elle veut et qui possède des talents encore plus grand que notre protagoniste costumé. Concernant le scénario il se suit plutôt bien sans pour autant être époustouflant, on suit Katia et 47 à la recherche de son père et de ses origines entre Berlin et Singapour.
Pour résumer, on a plutôt bien kiffé ce film car on est bon public et on aime les » pan pan boum » mais il faut éviter de se raconter des cracs, on est loin d’une adaptation réussi et je me permettrais même de dire que le précédent était mieux. Mais bon c’est pas pour autant qu’il faut cracher dessus. Un film à regarder en posant son cerveau loin, très loin de l’écran.