A ce qu’il paraît, la crise économique frappe durement la France. Dans ces conditions, il devient difficile, voire même impossible de se faire plaisir et d’investir dans du matos de gamer. On entend partout à la télé « la crise, la crise, la crise » comme si, de façon égoïste et dans un esprit nombriliste, il n’y avait que ça et que les autres fatalités de ce monde n’existaient pas. Par exemple, c’est scandaleux que les médias passent sous silence le débarquement par la BBC de Steven Moffat, où même que Julien Lepers ait été remercié par France 3 dans « Question pour un champion ». La solution qu’on a, à vous proposer, pour lutter contre toutes ces fatalités, c’est de faire comme nous et de décréter qu’on ne participera pas à la crise en se faisant plaisir et en achetant pourquoi pas du matos comme une souris ou un casque pour gamer.
On a donc eu la chance de tester un peu de matos et te proposer notre avis, pour pas que tu te fasses carotter en choisissant le bon matos. L’idée en faisant cela n’était pas d’acheter du matos pour avoir du matériel « haut-de-gamme » juste pour frimer mais d’avoir un vrai matériel qui va améliorer tes performances en jeu.Pour le casque, ça a été un peu facile. Le Razer Kraken casque filaire à 59,99 euros. Pour la souris, j’y suis allé en appréhendant un peu. C’est vers la Diamondback à 99,99 euros que mon choix s’est porté. J’appréhendais car quand on est gaucher, les souris ne sont pas toujours faites pour être utilisables avec les deux mains. Je me suis tâté longtemps avant de retenir mon choix car dans les spécifications techniques de razer, je n’ai pas tout compris.
C’est notamment ça que je n’ai pas compris :
- Accélération : jusqu’à 500 cm par seconde / 50 g
- Fonction Ultrapolling 1 000 Hz
500 cm par seconde, ça fait du 18km/h, elle va plutôt vite ma nouvelle souris mais ce n’est pas vraiment ce que j’ai retenu. Je pense notamment au capteur laser de 16 000 dpi qui va me garantir une précision incroyable, un éclairage aux couleurs personnalisables et ses 9 boutons personnalisables. Une autre fonctionnalité plutôt sympathique de cette souris, c’est sa possibilité de se synchroniser avec les couleurs affichés des autres périphériques de la marque Razer. Mais pour activer cette fonctionnalité et tout régler, il va falloir vous créer un compte gratuit, sans cela, vous n’aurez accès qu’à des fonctionnalités réduites mais qui seront tout de même suffisante pour jouer à vos jeux.
Pour ce qui est du casque, le Razer Kraken, j’ai, de moi-même, opté pour un casque filaire. Un peu blasé de devoir constamment recharger mon casque à chaque fin de partie, j’ai pris cette décision que je ne regrette pas. Mon avis de ce casque sera en revanche plus mitigé que pour la souris car avec ses 340 grammes, le casque est loin d’être un poids plus et il n’offre pas un son « 3D », c’est-à-dire que vous n’avez la possibilité de dire d’où vient le son que vous entendez dans le casque.Plutôt un demi-regret qu’un regret total car l’avantage de ce casque, c’est son prix. C’est le premier prix de la marque Razer, 59,99 euros, mais c’est à un prix équivalent à celui que vous retrouverez chez Turtle Beach et pour si peu, j’ai un produit qui vaut un peu plus que son prix. Vendu pour aller sur PC et XBOX ONE, le site de Razer annonce une compatibilité PS4 mais cette fois-ci, avoir un casque filaire pour console de jeu est, à mes yeux, un peu dénué de sens car le hardgamer qui voudra du filaire ne voudra pas s’encombrer d’avoir à gérer une batterie mais dans cette même optique, XBOX ONE et PS4 embarquent toutes deux une manette sans fil avec une autonomie plutôt courte. Après, ce n’est que mon avis et pas nécessairement un élément objectif.Un casque pas idéal pour une console mais qui va prouver toutes ses qualités sur un PC, ce qui va aussi être le cas de la souris Diamondback et ces deux périphériques vont s’avérer être un précieux atout pour mes parties en ligne.