- Auteur : Konishi Mikihisa
- Genre : Fantastique, Suspense
- Editeur : Komikku
Synopsis: Dans la vie certaines personnes naissent avec un talent inné et sont considérées comme des génies par leurs entourages. Ce qui n’est pas du tout le cas de Toya, un jeune homme qui a tenté sa chance dans des domaines tous plus différents les uns que les autres sans aucun succès. Alors qu’il cherche à trouver le moyen d’éveiller son talent, il va faire la rencontre d’Haïto, une camarade de classe reconnu comme un génie du sabre.
La suite de Pétales de Réincarnation arrive dans les rayons, avec son lot de nouveautés qui a de quoi faire couler un peu d’encre. Dans ce nouveau volume, on en apprend plus sur le pouvoir de Toya qui est la réincarnation d’un célèbre voleur. Ce pouvoir provoque tout d’abord le déni de ses nouveaux compagnons, qui voient cela comme un don malfaisant, n’ayant pas d’utilité et faisant bien pâle figure face aux autres pouvoirs. Malgré cela, il correspond tout à fait à la personnalité de Toya qui voit une possibilité énorme d’exploiter sa capacité trop sous-côté par ses partenaires. En parallèle, on en apprend un peu plus sur le passé d’Haïto, et l’arrivée de « supers vilains » permet de redonner un nouveau souffle au manga.
L’arrivée des talents maléfiques ne se fait plus au compte goutte comme durant le tome précédent, cette fois-ci c’est toute une escouade bien organisée qui compte bien mettre la pagaille avec leurs actes. Parmi ces derniers, beaucoup semblent entouré d’un voile mystérieux concernant leurs vécus, avec notamment un chef d’un calibre bien supérieur à ceux que l’équipe de Toya a déjà connu. Visiblement une guerre va se mettre en place, un nouvel arc ou l’on verra des combats et sans aucun doute des personnalités qui ont participé aux heures les plus sombres de l’humanité. A la fin du tome, un bon nombre de révélations sur Tayo nous sont faites, et le font devenir une sorte d’anti-héros. Ses ambitions personnelles le font franchir un cap, et tout porte à croire qu’il n’ira ni chez les méchants, ni chez les bons, mais qu’il compte bien tracer sa route en ayant aucune pitié, même pour ses compagnons.