- Auteurs : Kajikawa Takurô & Nishimura Mitsuru
- Genre : Gastronomique, Historique
- Editeur : Komikku
Synopsis: Ken est un cuisinier qui se retrouve soudainement propulsé en plein milieu de l’ère Sengoku du Japon. Sa connaissance culinaire va lui permettre de côtoyer les grands chefs de l’époque qui ont participé à faire du Japon ce qu’il est actuellement. Entre batailles importantes et décisions historiques, Ken va être témoin et acteur de chacun de ces moments.
Le Chef de Nobunaga en est déjà à son treizième volume, et c’est dans un nouveau registre qu’il se dévoile à nous cette fois-ci. Alors que Ken se voit à nouveau attribuer de nombreuses missions, l’autre cuisinier qui vient de la même époque que lui, décide de se faire passer pour un moine capable de lire dans l’avenir. Après plusieurs entourloupes et magouilles bien ficelées, il parvient à obtenir une audience avec Nobunaga, cependant, le prestige et l’aura que dégage ce génie militaire va littéralement le tétaniser. Après une courte entrevue, Nobunaga décéléra aisément la véritable nature du faux moine, qui laissera tomber l’idée d’essayer de rejoindre les rangs du préstigieux dirigeant.
De son côté, Ken va se voir affublé de nombreuses missives à accomplir. Comme à son habitude, il servira d’intermédiaire dans les relations démocratiques de son seigneur, et pour se faire, il va développer une cuisine que l’on avait pas encore vu jusque-là. Il s’agit de la cuisine « Ming », une culture qui voudrait soigner certaines blessures à l’aide de la nourriture qui aurait des vertus thérapeutiques lorsqu’elle est cuisinée correctement. A cela, Ken va faire une démonstration de sa grande connaissance des cocktails, un savoir qui lui sera précieux pour négocier avec un seigneur adeptes des alcools, et ayant la réputation d’être un féroce dirigeant très compétent. Le Chef de Nobunaga continue son récit, et la suite s’annonce encore plus intéressante.