- Auteur : Yoichi Takahashi
- Genre : Sport ( Football )
- Editeur : Glénat
Synopsis : Après une tournée européenne couronnée par une victoire au Tournoi international Junior, la sélection japonaise rentre au pays. Alors que Tsubasa prépare son voyage au Brésil, il a l’opportunité de jouer avec la sélection nationale qui défendra les couleurs du Japon lors de la prochaine Coupe du monde.
Nos amis sont de retour chez eux. Leur dernière année de collège se conclut par un triomphe avec l’équipe nationale junior de football, mais ce n’est pas pour autant que leur avenir est tout tracé. En effet, il va falloir réviser afin de pouvoir rejoindre un lycée et tous se retrouver sur l’herbe des terrains verts ! Ce tome marque la fin d’une époque glorieuse pour le foot collégien, mais marque par conséquent, le début de celle du lycée : Kojiro Hyuga (vf : Mark Landers) semble être la futur star de cette génération puisque Tsubasa (vf : Oliver) s’envole pour le Brésil mais reviendra de temps à autre au Japon afin de disputer les rencontres internationales avec l’équipe nationale nippone. Son talent et son optimisme ayant su faire de lui le chouchou du public, la classe !
Quant aux autres, les bonnes nouvelles pleuvent concernant Genzo (vf : Thomas Price), Taro (vf : Ben Becker) ou bien Jun (vf : Julian Ross). Certains signent des contrats, d’autres s’envolent vers de nouvelles destinations. Ce dernier tome de Captain Tsubasa est un recueil de sourires et d’émotions, marqué par le départ en secret d’Olivier, qui rejoint Roberto (vf : Roberto aussi ^^) dans le pays du football… Les aventures de Tsubasa s’achèvent et nous laissent le sourire aux lèvres quant à la belle fin de cette série monumentale, dont certains la qualifie de chef-d’oeuvre, en l’occurrence le rappeur Fianso qui s’est confié à nous récemment.
N’oublions pas de remercier Yoichi Takahashi pour toutes ces années de bonheur et de traversées de terrains interminables dans les épisodes qui ont bercé notre jeunesse ! Un grand merci à J’ai lu sans qui cette oeuvre ne serait pas parvenus à nous dès la fin des années 80, et bien évidement merci à Glénat de faire découvrir ce bijou aux nouvelles générations.