- Auteurs: NAOMURA Toru (dessin), KAWAMOTO Homura (scénario)
- Genre : Shônen
- Editeur : Soleil
Synopsis: Dans cette école ce ne sont ni les résultats scolaires ni les performances sportives qui comptent, mais les prouesse aux jeux de hasard. Des sommes parfois colossales peuvent être pariées. Les élèves les plus forts son enviés, les plus faibles persécutés. Yumeko, une nouvelle élève, est immédiatement placée sur la liste des personnalités à surveiller. Étrangement, elle ne semble pas être là pour « gagner », mais pas pur amour du jeu et de l’excitation.
Gambling School en est déjà à son troisième volume, et déjà des choix intéressants s’offrent aux différents protagonistes. Alors que la jeune Mary est parvenu à rembourser ses dettes et à s’en sortir, elle voit la présidente du conseil s’approcher d’elle pour lui proposer de rejoindre le conseil. Bien que la proposition soit intéressante, Mary préfère la décliner, la faute à une rancœur et une envie de vengeance bien plus forte que l’appât du gain, ou les différentes motivations économiques. Une fois cette proposition refusée, c’est Yumeko qui se voit approcher par une autre membre du conseil mais dans un but différent.
Il s’agit de Ikishima, une fille au penchant sadomasochiste qui refuse de laisser Yumeko lui filer entre les pattes. Provoquer dans un jeu de hasard ou il faut deviner l’ordre des cartes, le perdant prendra les balles du barillet de l’autre. Alors qu’elle pensait pouvoir assouvir ses désirs sadiques sur Yumeko, cette dernière parvient à déjouer totalement sa stratégie pour provoquer un match nul, et lui prouver qu’elle l’avait battu sur toute la ligne. Après cet échec cuisant, Ikishima a tout tenté pour devenir l’esclave de Yumeko, en vain, prenant d’autant plus conscience du fossé qui séparait les deux joueuses et leur potentiel de sadisme. A l’aide d’une ingéniosité, d’un sens de l’observation et d’une confiance sans faille dans son partenaire, Yumeko a prouvé que le hasard n’était qu’un paramètre variable qui ne prenait de l’importance uniquement… Lorsque l’on est à court de solutions.