- Auteur : SAHARA Mizu
- Genre : Tranche-de-vie
- Editeur : Kaze
Synopsis: Les ambitions germent et des rêves arrivent plein la tête, c’est avec la fougue de la jeunesse que Kimitaka et Takara veulent respectivement devenir joueur de basket et danseuse de Flamenco. Cependant, comme dans tout les sports, la passion ne suffit pas à compenser le manque de talent, et les deux lycéens se retrouvent bloqués devant un fossé qu’ils ne parviennent pas à franchir. Plutôt que de tout laisser tomber et de revenir à un quotidien monotone, ils décident d’échanger leurs chaussures et leurs sports respectifs par la même occasion. Vont-ils réussir l’un comme l’autre à réussir leurs rêves inter-changés ? Il ne tient qu’à eux d’y parvenir.
Le Chant des Souliers Rouges est de retour avec un troisième volume chez Kazé, et ce dernier se concentre bien plus sur les personnages secondaires que sur les principaux. Tsubura et Kimitaka ont besoin d’un interprète pour chanter par dessus leur Flamenco et distribuer le tempo, dans leur tête le chanteur est tout désigné, ce sera Hana l’ancien chanteur prodige de la chorale. Mais après avoir vécu un traumatisme dans sa jeunesse, Hana n’est plus capable de prendre la parole en public sans prendre le risque de perdre tous ses moyens.
Tsubura entre alors en scène, essayant de combler son complexe de surpoids en recevant de la gratitude avec de bonnes actions, il prend en pitié Hana ce qui a le mérite de l’exaspérer plutôt que de l’aider. Kimitaka servant d’intermédiaire entre les deux amis, va devoir prendre sur lui et réussir à créer une communication plus saine et hors de quiproquo. Réussissant à la fois à aider Tsubura tout en réduisant le complexe d’Hana, ce dernier décide d’aider les deux compères en devenant leur chanteur, parvenant de surcroît à faire progresser le duo qui ne cesse de s’entraîner pour parvenir à réaliser leur rêve. L’union fait la force, et il fait bon de s’appuyer sur ses amis lorsque ces derniers sont disponibles, Le Chant des Souliers Rouges l’exprime très bien et donne d’autant plus envie de lire la suite.