- Auteur : Junya Inoue
- Genre : Shônen
- Editeur : Glénat
Synopsis : L’organisation mystérieuse qui en veut à la vie de Kasumi a pour nom « Chandelier ». Dissimulée dans l’ombre, elle use des pouvoirs magiques des vierges afin d’exercer sa puissance et sa domination sur le monde entier. Lorsque Michael l’invite à se joindre à lui pour lutter contre l’organisation, Kasumi décide de prendre part au combat. C’est alors qu’elle reçoit un coup de téléphone de sa mère hospitalisée qui lui annonce que son père porté disparu est entré en contact avec elle ! Face aux deux vierges sommées de les éliminer, Kasumi va devoir faire un choix décisif…
La Vie en Doll revient avec un quatrième tome et une couverture haute en couleur et c’est avec un retour en Europe que tout démarre, du moins en apparence seulement. Deux nouveaux antagonistes viennent se présenter à eux pour tenter de mettre fin à leurs jours, Jeremy capable de déplacement instantanés et Elizabeta qui semble avoir des capacités à la hauteur du titre qu’elle porte. L’objectif est d’atteindre la destination de Miraberg pour retrouver le paternel de Kasumi. Une fois dans l’aéroport, l’action démarre et la narration devient bien plus facile.
L’auteur nous lance dans un combat à la fois rythmé et dynamique, qui masque en quelques sortes le manque de dénouement en terme d’intrigues durant ce tome. Combler la narration par de la baston, une solution simple mais pourtant efficace par laquelle l’auteur parvient à tirer son épingle du jeu, mais que l’on lui connaît déjà malheureusement. En espérant à l’avenir que l’intrigue s’éclaire et que les choses prennent une autre tournure que ce qui est actuellement mis en place, car l’oeuvre en elle-même a sans aucun doute bien plus à offrir.