- Auteur : FUJITA
- Genre : Josei
- Éditeur : Kana
Synopsis : Un nouveau personnage fait son apparition : Naoya, le petit frère d’Hirotaka! Mais Narumi, Hanako et Tarô ne mettent pas longtemps avant de comprendre qu’il ne fait pas partie des leurs… Ni geek, ni otaku, le jeune Naoya va très vite être initié à ces cultures. Pendant ce temps, les relations entre les deux couples évoluent en douceur, et avec humour !
Dans ce deuxième opus se pose toujours la même problématique. De quel côté nous trouvons-nous ? Otaku assumé, démonstratif voir cinglé ? Ou otaku discret réservé pouvant être hypocrite ? Peut importe dans quelle case vous vous rangez, les différences s’assemblent. Et on sait de quoi nous parlons lorsque l’on voit notre couple préféré numéro 2 traiter du débat. On se focalisera sur ces deux amoureux de longue date, Tarô et Hanako, qui arrive à cohabiter avec leur otaku attitude. Un model pour le jeune couple qui sont complètement largué et qui ne ressemble en rien à un vrai couple.
On a le droit à un nouveau personnage, Naoya, qui n’est autre que le petit frère d’Hirotaka qui lui, est tout le contraire d’otaku. Un jeune homme aimable, sociable qui ne porte pas d’intérêt au jeux vidéo ou manga ou du moins en partie. Celui-ci pop-up pour s’assurer que son grand frère, s’ouvre un peu plus sur son monde dans ses jeux. Il est agréablement surpris lorsqu’il apprend qu’il est en couple avec Narumi (même si ça n’en a vraiment pas l’air). Le petit frère rajoute de l’humour vu qu’il n’y comprend rien à rien à la sphère otaku. Si pur, qu’on ne peut lui en vouloir. On peut aussi avoir un aperçut, grâce a son arrivée, de l’enfance d’Hirotaka. Enfance qu’il a partagé en grande partie avec Narumi. Ils semblent alors destinés à être ensemble. Mais nous voudrions que leur relation évolue au-delà de leurs « rencards » à Animate ou aux salles d’arcade. Peut-être que le tome trois nous en fera la surprise.
Au programme du cosplay, du boy’s love à foison et réaction exagéré à la mort pour une nouvelle figma sortie. Nous sommes graciés d’avoir encore une fois de superbe pages couleurs, pastels et douces. On regrette un peu la redondance des gags et la lenteur dans l’intrigue mais le tome reste tout même très agréable à lire.