Dans la liste des jeux indémodables que l’on a tous connu étant plus jeune, il y a sans aucun doute Mario et Pokemon qui ont une place de choix, mais Yu-Gi-Oh reste sans aucun doute un incontournable.
Comme vous le savez, chez les Illuminati le Japon c’est quelque chose qui nous tient à coeur, et beaucoup d’entre nous font régulièrement des aller-retour au pays du soleil levant pour revenir les valises pleines de figurines et surtout… De cartes ! Cette fois on a fait une exception et on est allé tenter notre chance avec des boosters français et des box promotionnelles, la collection légendaire de Kaïba et la box collector Yugi & Kaiba. Dans la box collector il était possible de trouver des rééditions des premiers decks de Yugi & Kaiba, accompagné bien sûr de leurs cartes signatures en version super rares, le Dragon Blanc aux Yeux Blancs, et le sensationnel Magicien Sombre. Le pack présentait aussi des boosters rétros (3 Packs du Duelliste Yugi et 3 Packs du Duelliste Kaiba), des éditions de l’époque qui étaient aussi présent dans certains jeux vidéos, une aubaine pour les collectionneurs et les nostalgiques de la première heure. Mais la boîte qui a sans aucun doute attiré notre regard reste la collection légendaire de Kaiba, ce personnage sec et hautain, refusant de croire en la magie des objets du millénium et prônant le talent face à l’âme des cartes de Yugi.
Cette collection contient tout d’abord un tapis de jeu à l’effigie du Seigneur des D. et de l’anneau de la destruction, le premier est une carte collector récupérable dans ce pack, tandis que la deuxième est surtout célèbre au travers de l’animé pour les dégâts qu’elle a su occasionner. Ensuite on s’attaque à ce qui nous intéresse, 3 mégas packs avec 10 cartes chacun pour un total de 4 secrets rares et 6 ultras rares, et d’autres cartes exclusives avec par exemple, le Croc de Critias. Chez les Illu’, on a pas manqué de bol pour notre ouverture de boosters, les Dragons Blancs aux Yeux Bleus étaient légions, et aucun doute que l’on a désormais entre les mains, de quoi écraser pas mal d’apprentis Joey Wheeler.